

Le bureau

Ophélie
Présidente
Durant plusieurs années, je me suis retrouvée face à une errance médicale. Malgré un diagnostic qui est intervenu tôt, aucune prise en charge ne m'a été proposée et ce manque de soutien a créé des complications sur mon état de santé. J’ai aujourd’hui le désir de participer à une meilleure sensibilisation et connaissance du SOPK et de pouvoir apporter mon soutien aux personnes touchées par cette pathologie.

Angélique
Vice présidente
J’apprends que je suis SOPK en 2007. A l’époque on ne me donne aucune information précise sur le syndrome, les symptômes, les risques et encore moins sur « comment vivre avec ? ». Ces années d’errance marquent ma vie à tout jamais. Aujourd’hui j’aimerais qu’aucune femme diagnostiquée ne reste dans l’inconnu. L’information est essentielle pour une bonne prise en charge et le SOPK ne doit plus rester confidentiel.

Caroline
Présidente
Diagnostiquée à mes 17 ans en 2010, j'ai été lancée dans l'inconnu du SOPK. Ma prise en charge médicale a été faite tout de suite, mais je me suis vite sentie seule dans mon entourage. J'ai donc toujours voulu partager avec des personnes comprenants ce que je pouvais vivre et ressentir. Aujourd'hui, je suis motivée plus que jamais à aider les personnes qui étaient dans mon cas et surtout m'investir afin de faire connaitre ce syndrome méconnu.

Florine
Secrétaire générale
Lors de mon diagnostic en 2015, je n’ai eu pratiquement aucune information sur le SOPK. Soulagée de mettre un nom sur mes symptômes, je me suis pourtant retrouvée avec plus de questions que de réponses et personne pour y répondre. J’ai ensuite découvert que je pouvais agir et je me suis informée sur le SOPK. Je souhaite maintenant informer les femmes atteintes pour qu’elles ne ressentent plus la solitude que j’ai pu ressentir à l’époque de mon diagnostic.